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Je m'abonneVous avez une maison à vendre dans le Morbihan qui ferait une très jolie résidence secondaire et vous vous demandez comment se comporte le marché de l’immobilier à l’heure du déconfinement.
Le confinement n’a pas été propice aux transactions immobilières. En effet, les visites ont été du jour au lendemain suspendues et même si les agences immobilières ont été pour nombre d’entre elles très réactives en mettant en place le télétravail et de nombreux outils pour garder le contact avec leurs clients, seules les transactions initiées et bouclées ou quasiment bouclées avant le confinement ont pu se concrétiser.
En effet, les notaires ont pu signer des actes authentiques à partir d’avril grâce aux mesures mises en place par l’État afin de permettre la signature à distance. Sans cela, il aurait été tout simplement impossible de signer la vente définitive des biens sous compromis de vente.
De plus, cela n’était pas toujours possible, notamment si un des signataires n’avait pas les moyens informatiques nécessaire pour participer a la visioconférence de signature.
Le déconfinement tant attendu au niveau économique, mais pas seulement, est arrivé le 11 mai comme l’avait initialement prévu l’Élysée.
À partir du 11 mai, les agences immobilières ont pu réouvrir leurs portes et les visites ont pu reprendre. Cette période délicate impose aux agences de gérer le nombre de clients présents en même temps et les visites en toutes sécurité en mettant en place les gestes barrières indispensables.
Le première chose importante à relever est que les prix de l’immobilier n’ont pas baissé pendant cette période. De plus, de nombreux experts, tant français qu’internationaux, à l’image de Standard & Poor’s, estiment qu’il n’y aura pas de crash de l’immobilier comme cela était évoqué au cours du confinement. Il devrait a priori y avoir une baisse de prix très limitée en 2020, de l’ordre de 1 à 2 %, puis une reprise dès 2021.
Ces perspectives encourageantes sont de plus confortées par l’augmentation de la demande concernant les résidences secondaires situées dans la proche périphérie des grandes agglomérations. En effet, beaucoup de ceux qui ont vécu deux mois enfermés pratiquement du matin au soir dans un petit appartement en ville ont été échaudés et recherchent pour nombre d’entre eux un pied à terre en province, à moins de deux heures de route de la ville où ils résident et travaillent.
Cette tendance qui ne semble pas être éphémère et qui va dans le sens de la recherche de l’amélioration de la qualité de vie, pourra certainement, si elle se confirme, soutenir en partie la reprise du marché de l’immobilier.
Pour en savoir plus:
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