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Je m'abonneCompte tenu de la conjoncture et des confinements à répétition, les primo-accédants suspendent leur projet immobilier mais entendent toujours le réaliser pour la majorité d’entre eux selon une étude faite par SeLoger et Empruntis. Nous espérons donc voir de nombreux primo-accédants acheter un appartement proche de Vannes cette année.
Les projets immobiliers des primo-accédants sont suspendus mais pour autant mais ils restent encore d'actualité d’après une étude commune Seloger et Empruntis.
Même si 63% des projets des primo-accédants ont vu le jour avant le premier confinement et ont été repoussés compte tenu de la conjoncture délétère, ils restent cependant optimistes quant à la réalisation future de ceux-ci.
Un peu plus de la moitié d’entre eux voit même dans cette crise une opportunité d’achat tandis que d’autres plus pessimistes craignent une augmentation des prix. La plupart des projets se situant en zones tendues, les faits semblent donner raison à ces derniers pour le moment.
En effet, plus de la moitié des achats (6 sur 10) se feront dans des villes ayant de plus de 60 000 habitants. Le confinement qui a poussé bon nombre d’acquéreurs à rechercher des espaces plus grands avec terrasse ou jardin - voire à quitter les centres-villes - semble moins toucher les primo-accédants.
Cette année, le budget moyen des primo-accédants est d’un peu moins de 255 000 €, soit inférieur de 12 000 € à celui de 2020 qui se situait à un peu plus de 267 000 €.
Pour les primo-accédants, le recours au crédit est quasiment une condition sine qua non pour acquérir leur résidence principale. En effet, 96% d’entre eux vont y avoir recours pour concrétiser leur achat alors que seulement 80 % des autres acheteurs font un emprunt.
Beaucoup sont inquiets sur leur capacité à obtenir un prêt immobilier. Ils sont environ 40% à s’en préoccuper dans la mesure où ils ont généralement un apport plus faible que les autres acquéreurs. Ce problème touche plus les jeunes primo-accédants que les plus âgés. En effet, ils ne sont que 42% parmi les jeunes à disposer d'un apport dépassant 10% du prix du bien tandis qu’ils sont 60% chez les plus de 50 ans.
Les jeunes restent néanmoins plutôt optimistes quant à leur capacité à obtenir un crédit même si cela reste leur principal sujet d'inquiétude.
En effet, la plupart d'entre eux (83%) ont effectué une étude de financement qui s’avère dans la majorité des cas positive et les banques s’intéressent à leur profil, même avec un faible apport.
Ainsi, la part des jeunes primo-accédants ayant obtenu un financement début 2021 a progressé et représente plus de la moitié des dossiers (54 %). Même si l'apport des jeunes primo-accédants est en moyenne de 16,5 % du prix du bien tandis que celle des autres acquéreurs est plutôt de l’ordre de 25 %, les banques acceptent leurs dossiers sans difficultés.