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Je m'abonneLe confinement a eu un impact délétère sur l’économie et l’emploi, tout le monde s’accorde à le dire. Mais il y a également des effets plus insidieux que chaque agent immobilier à Arzon et d’ailleurs a bien noté : l’augmentation des divorces.
La période difficile que nous avons traversée a eu des effets insidieux sur de nombreux couples. La vie confinée dans un espace clos n’est pas simple et c’est encore plus compliqué quand l’entente dans le couple n’est pas parfaite.
En effet, de nombreux divorces qui se seraient certainement produits dans quelques mois ont été précipités par l’obligation de rester à la maison 24h/24 sans pouvoir s’échapper sauf quelques heures chaque jour pour aller faire ses courses, son jogging ou encore promener son chien.
Cette période de vie en vase clos a été fatale à de nombreux couples qui se sont séparés dès qu’il a été possible de sortir.
En temps normal, les divorces comme les décès, les déménagements professionnels, les difficultés financières et l’arrivée d’un enfant sont vecteurs d’achat et de ventes immobilières.
À l’heure du déconfinement, les divorces et les décès sont malheureusement les causes les plus fréquentes de mutation immobilière.
De nombreux couples ont attendu la levée des mesures des restrictions de déplacement pour se séparer immédiatement.
Il y a plusieurs cas de figures.
Dans certains cas, le couple essaie de conserver le logement familial et l’un des deux continue de l’habiter avec les enfants afin que ceux-ci ne perdent pas leurs repères dans cette période délicate. L’autre prend généralement un logement en location et l’impact est alors nul sur le marché des transactions immobilières.
Mais ce cas est loin d’être la norme.
Bien souvent, l’une des deux parties rachète la part de l’autre et dans ce cas, celui qui part met à profit l’enveloppe financière qu’il touchée pour acheter un autre logement. Cette situation génère une transaction immobilière.
D’autre fois, la résidence principale est vendue car personne n’a les moyens de la conserver et chacune des parties acquière un appartement de son côté avec sa part. Cela occasionne alors trois transactions immobilières.
Une étude de l’INSEE fait d’ailleurs état que les couples vivant en région parisienne où les surfaces sont plus petites qu’en province divorcent plus que les autres. L’envie très française de s’endetter pour acquérir coûte que coûte son logement même s’il est très petit avant même de savoir si la vie sous le même toit est possible est un vecteur des nombreux divorces à Paris et dans sa banlieue.
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